Rick Hansen Foundation School Program Webinar Recap: Be an Ally!/ Récapitulatif du webinaire sur le Programme scolaire de la Fondation Rick Hansen Soyez une personne alliée!
Le français suit l'anglais.
To celebrate and recognize International Day of Persons with Disabilities the Rick Hansen Foundation School Program (RHFSP) hosted a webinar educating students on allyship how teaching one child at a time the importance of inclusion can create a more inclusive world.
“This day is a chance to not only celebrate all of their accomplishments, but it's a chance for allies to recognize more work that we can do to make our world more inclusive and accessible for all,” said Margaret May, Program Coordinator, School Program at the Rick Hansen Foundation.
The lineup of speakers included:
- Paulo Guerrero, Rick Hansen Foundation Ambassador (panelist)
- Talina Papazian, Ally, Author of You Taught Me and Rick Hansen Foundation Youth Leadership Committee member (panelist)
- Marco Pasqua, Rick Hansen Foundation Ambassador (moderator)
In the conversation the panel dismantled some significant stereotypes about people with disabilities and offered ways to instead support them, whether it be in the classroom or outside of it. To watch the webinar, please check out the recording below.
The webinar started off by asking a simple question, “it is easy to tell when someone has a disability, true or false?” The answer is false. This question makes us consider that we should be an ally to everyone, seeking inclusion and access for all regardless of our abilities.
What you can do to be an ally
“Being an ally is nothing more than being there for somebody… it starts with just showing up,” Paulo said.
Because every disability is different, it is okay to be uncertain in your approach to inclusivity.
“Don’t be afraid of asking people with disabilities questions,” Marco explained. “As long as your intention is to be a kind person, then it's okay to make mistakes… your intention is everything.”
It’s important to have kind intentions when you are communicating with those you are trying to accommodate. Making assumptions about people is harmful, you can best support people with disabilities by listening and asking them what would be best to make them feel included, supported and comfortable.
Educating others about disabilities causes a butterfly effect of transformative inclusion. Self-advocacy and allyship are how we continue to make this world a more accessible place for everyone.
“Every adversity offers equal, if not more opportunity, it just depends how you’re willing to look at it,” Paulo noted.
As an ally it is important to keep in mind there are many upsides to having a disability. They allow you to connect to people with similarities and understand those with differences. They allow for a creative mind, having to adapt all the time to environments not built for our abilities. They allow for belonging within a community of inclusivity and total acceptance. Being an ally gives you these insights as well.
What would prevent someone from wanting to become an ally?
It is understandable that people may be wary of asking questions about disabilities. As Paulo explained, “the social climate of cancel culture, has made a lot of people who were wrong, maybe because of a lack of information and not bad intentions, scared of saying something that they didn't know was incorrect…. intention is everything.”
It takes an open mind to ask questions, don’t let your nerves stop you from being an ally, people with disabilities appreciate it endlessly.
Closing thoughts
Championing inclusion can start whenever and wherever, don’t stop asking why barriers exist and how we can dismantle them.
Paulo closed with: “be curious with good intentions.”
La traduction française commence :
Pour souligner la Journée internationale des personnes handicapées, le Programme scolaire de la Fondation Rick Hansen (PSFRH) a organisé un webinaire destiné à sensibiliser les élèves à la solidarité et à enseigner individuellement aux enfants l’importance de défendre l’inclusion afin d’édifier un monde plus inclusif.
« Cette journée est l’occasion de célébrer toutes leurs réalisations, mais également de permettre aux personnes alliées de réfléchir à ce que nous pouvons faire pour améliorer l’inclusion et l’accessibilité pour tout le monde », a affirmé Margaret May, coordonnatrice de programme, Programme scolaire de la Fondation Rick Hansen.
Le groupe de discussion se composait des personnes suivantes :
- Paulo Guerrero, ambassadeur de la Fondation Rick Hansen (panéliste)
- Talina Papazian, alliée, auteure de You Taught Me et membre du Comité de leadership jeunesse de la Fondation Rick Hansen (panéliste)
- Marco Pasqua, ambassadeur de la Fondation Rick Hansen (animateur)
Au cours de la conversation, le groupe a dénoncé certains stéréotypes importants sur les personnes en situation de handicap et a suggéré des solutions pour les aider, que ce soit en classe ou ailleurs. Pour regarder l’intégralité du webinaire, veuillez y accéder ci-dessous.
La première question du webinaire était simple : « Peut-on facilement savoir si une personne est en situation de handicap? (Vrai ou faux) ». La réponse est : Faux. Cette question nous amène à réfléchir à l’importance de s’allier à tout le monde ainsi qu’à la promotion de l’inclusion et de l’accès pour tout le monde, indépendamment de nos capacités.
Quels gestes pouvez-vous poser pour devenir une personne alliée?
« Être une personne alliée revient à être là pour autrui, ce qui commence par la présence, tout simplement », a souligné M. Guerrero.
Parce que chaque handicap est différent, on peut se permettre d’hésiter quant à l’approche à adopter en matière d’inclusion.
N’ayez pas peur de poser des questions aux personnes en situation de handicap », a expliqué M. Pasqua. « Même en ayant l’intention d’être aimable, vous pouvez faire des erreurs… c’est l’intention qui compte ».
Pour bien communiquer avec les personnes que l’on essaie d’aider, il faut avoir des intentions bienveillantes. Les suppositions sur les personnes peuvent faire du tort. Le meilleur moyen d’aider les personnes en situation de handicap consiste à les écouter et à leur demander ce qui leur convient le mieux pour qu’elles se sentent incluses, appuyées et à l’aise.
Sensibiliser les autres aux handicaps contribue à favoriser l’inclusion et peut faire boule de neige. L’autonomie sociale, la mobilisation et les alliances permettent de continuer à améliorer l’accessibilité pour tout le monde.
« Chaque obstacle recèle une possibilité égale, voire supérieure au niveau de difficulté, cela dépend simplement de la façon dont on veut le considérer », a fait remarquer M. Guerrero.
Une personne alliée ne doit pas oublier qu’il y a beaucoup d’avantages à avoir un handicap. Les handicaps aident à tisser des liens avec des personnes semblables et à comprendre celles qui sont différentes. Ils permettent à l’esprit créatif de s’adapter fréquemment à des environnements qui ne sont pas conçus pour nos capacités. Ils favorisent l’appartenance à une communauté fondée sur l’inclusion et l’acceptation inconditionnelle. Il existe aussi des avantages à être une personne alliée.
Pour quelles raisons une personne pourrait-elle ne pas vouloir devenir une personne alliée?
Des personnes peuvent être réticentes à poser des questions sur les handicaps, ce qui est compréhensible. Comme l’a expliqué M. Guerrero, « en raison du climat social de la culture du bannissement, beaucoup de gens qui se trompaient, peut-être par ignorance et sans mauvaise intention, ont eu peur de dire quelque chose sans se douter que c’était incorrect… tout dépend de l’intention ».
Il faut avoir l’esprit ouvert pour poser des questions et ne pas laisser sa nervosité entraver les alliances. Les personnes en situation de handicap en sont infiniment reconnaissantes.
Réflexions finales
La défense de l’inclusion peut commencer n’importe quand et n’importe où. Ne cessez jamais de demander pourquoi les obstacles existent et comment nous pouvons les éliminer.
Pour conclure, Paulo a ajouté : « faites preuve de curiosité avec de bonnes intentions ».